Problème de freins
Publié : 01 avr. 2013, 19:48
Bonjour
Dernier WE de janvier, retour Munich-banlieue parisienne par l’autoroute. Sur l’A4 au niveau de Metz, appels de phare d’une voiture environ 100 m derrière moi alors que j’en dépassais une autre et grosse vibration au niveau du train avant. Je m’arrête en catastrophe sur la BAU après une quasi-queue-de-poisson, pensant qu’un pneu était en train de se déchaper. J’étais aux alentours de 110 km/h.
Je regarde et tout semblait absolument normal. Je repars. Puis plus rien.
Quelques jours plus tard, même phénomène sur l’A6 au niveau des pistes d’Orly en allant vers Paris après 5 kilomètres de route. Je tente des freinages, je ralentis à 90 km/h et ça disparaît. J’accélère et ça recommence. Je dépasse les 120 km/h et ça disparaît. Puis je ralentis et ça ne réapparaît pas.
Comme je devais partir au ski début mars, je porte la voiture au garage la semaine précédente. Diagnostic : plat sur une jante alu et étriers grippés. Moralité, changement de la jante et des étriers/plaquettes ainsi que des disques qui avaient bleui et étaient voilés. Pas donné, tout ça ! De plus, c’est de la pièce Matra !
Je récupère la voiture le vendredi soir, avant-veille de mon départ. L’allée de mon garage est un peu en pente et j’ai l’habitude de laisser la voiture glisser en roue-libre, mais là, elle ne roule pas. Même en poussant. J’ai pensé qu’ils avaient réglé le frein à main un peu serré et que ça irait en roulant.
Dimanche matin, départ pour les Alpes. Après 170 km, de nouveau la vibration, encore plus forte. Je m’arrête sur une aire de stationnement. Les disques fumaient, surtout celui de droite. J’attends quelques minutes qu’ils refroidissent et je repars sans problème. Un kilomètre plus loin, ça recommence. Je m’arrête à une borne d’appel. Quelques minutes plus tard un camion de dépannage passe (par hasard, car je n’avais pas encore appelé). On convient avec le dépanneur que je sortirais à Avallon et que j’irais à son garage pour tester la température du liquide de freins. Je repars et tout allait très bien. On se retrouve après le péage. Il regarde, constate que la voiture ne peut pas être poussée en roue libre et me met en garde, car en insistant, je peux mettre le feu à la voiture. On repart vers son garage. Là, je ne pouvais pas dépasser 70 km/h, tellement ça freinait. On a mis la voiture sur le plateau, direction le garage. Son diagnostic : Mastervac (amplificateur de freinage)
L’assistance (Inter Mutuelles Assistance) me propose seulement de me ramener au point de départ, puisque je n’ai pas dépassé la moitié de mon trajet, ou de me payer une nuit d’hôtel si je suis sûr d’être réparé dès le lundi. Pfff !!!
Finalement, j’ai dû louer sur place une Clio pour continuer mon voyage jusqu’à la montagne.
La voiture a été réparée pendant la semaine. C’était bien le Mastervac qui était en cause.
De retour chez moi, je vais au garage pour raconter ma mésaventure suite à leur réparation incomplète. Le rendez-vous a duré presque une heure. Le chef d’atelier n’avait jamais rencontré ce phénomène. Je lui ai demandé de téléphoner au garage qui a fait la réparation. Le chef d’atelier de ce garage lui a expliqué ce qui s’est passé et lui a dit qu’il en avait déjà fait 6 en quelques années, dont un sur un Renault Master. Pourtant, mon concessionnaire rentre 1000 voitures par mois !
En résumé, je vais avoir la jante et la main d’œuvre qui lui correspond remboursées. Pour le reste, j’attends la décision, mais j’ai demandé qu’on me fasse la réduction maximale pour les autres pièces qui ont été changées. Un compromis qu’il a semblé accepter. Je suis client de la concession depuis plus de 30 ans !
Dernier WE de janvier, retour Munich-banlieue parisienne par l’autoroute. Sur l’A4 au niveau de Metz, appels de phare d’une voiture environ 100 m derrière moi alors que j’en dépassais une autre et grosse vibration au niveau du train avant. Je m’arrête en catastrophe sur la BAU après une quasi-queue-de-poisson, pensant qu’un pneu était en train de se déchaper. J’étais aux alentours de 110 km/h.
Je regarde et tout semblait absolument normal. Je repars. Puis plus rien.
Quelques jours plus tard, même phénomène sur l’A6 au niveau des pistes d’Orly en allant vers Paris après 5 kilomètres de route. Je tente des freinages, je ralentis à 90 km/h et ça disparaît. J’accélère et ça recommence. Je dépasse les 120 km/h et ça disparaît. Puis je ralentis et ça ne réapparaît pas.
Comme je devais partir au ski début mars, je porte la voiture au garage la semaine précédente. Diagnostic : plat sur une jante alu et étriers grippés. Moralité, changement de la jante et des étriers/plaquettes ainsi que des disques qui avaient bleui et étaient voilés. Pas donné, tout ça ! De plus, c’est de la pièce Matra !
Je récupère la voiture le vendredi soir, avant-veille de mon départ. L’allée de mon garage est un peu en pente et j’ai l’habitude de laisser la voiture glisser en roue-libre, mais là, elle ne roule pas. Même en poussant. J’ai pensé qu’ils avaient réglé le frein à main un peu serré et que ça irait en roulant.
Dimanche matin, départ pour les Alpes. Après 170 km, de nouveau la vibration, encore plus forte. Je m’arrête sur une aire de stationnement. Les disques fumaient, surtout celui de droite. J’attends quelques minutes qu’ils refroidissent et je repars sans problème. Un kilomètre plus loin, ça recommence. Je m’arrête à une borne d’appel. Quelques minutes plus tard un camion de dépannage passe (par hasard, car je n’avais pas encore appelé). On convient avec le dépanneur que je sortirais à Avallon et que j’irais à son garage pour tester la température du liquide de freins. Je repars et tout allait très bien. On se retrouve après le péage. Il regarde, constate que la voiture ne peut pas être poussée en roue libre et me met en garde, car en insistant, je peux mettre le feu à la voiture. On repart vers son garage. Là, je ne pouvais pas dépasser 70 km/h, tellement ça freinait. On a mis la voiture sur le plateau, direction le garage. Son diagnostic : Mastervac (amplificateur de freinage)
L’assistance (Inter Mutuelles Assistance) me propose seulement de me ramener au point de départ, puisque je n’ai pas dépassé la moitié de mon trajet, ou de me payer une nuit d’hôtel si je suis sûr d’être réparé dès le lundi. Pfff !!!
Finalement, j’ai dû louer sur place une Clio pour continuer mon voyage jusqu’à la montagne.
La voiture a été réparée pendant la semaine. C’était bien le Mastervac qui était en cause.
De retour chez moi, je vais au garage pour raconter ma mésaventure suite à leur réparation incomplète. Le rendez-vous a duré presque une heure. Le chef d’atelier n’avait jamais rencontré ce phénomène. Je lui ai demandé de téléphoner au garage qui a fait la réparation. Le chef d’atelier de ce garage lui a expliqué ce qui s’est passé et lui a dit qu’il en avait déjà fait 6 en quelques années, dont un sur un Renault Master. Pourtant, mon concessionnaire rentre 1000 voitures par mois !
En résumé, je vais avoir la jante et la main d’œuvre qui lui correspond remboursées. Pour le reste, j’attends la décision, mais j’ai demandé qu’on me fasse la réduction maximale pour les autres pièces qui ont été changées. Un compromis qu’il a semblé accepter. Je suis client de la concession depuis plus de 30 ans !