Ciel de toit
Publié : 30 déc. 2019, 18:46
Ciel de toit .
Bonjour à toutes et tous,
Tous les possesseurs d' Espace 2 de plus de vingt ans, sont confrontés au "Ciel qui leur tombe sur la tête". Voici ma version, ... enfin la première partie.
J' ai recollé le ciel de toit avant. Il me restera le milieu qui est déjà tombé, puis l' arrière au dessus du coffre qui commence à montrer des signes de faiblesse.
J' ai parcouru le forum et je crois avoir tout lu, ou presque sur le sujet.
Sur mon Espace 2 de 1993, le ciel de toit est composé de trois éléments une moquette grise genre aiguilleté léger et mince de 3mm environ, une mousse qui s'est complètement désagrégée avec le temps en prenant une teinte orange et un voile intissé blanc.
A l' aide d'un couteau à mastiquer et grattoir j' ai gratté le voile intissé blanc et le reste de mousse qui restait sur le toit. Le couteau à mastiquer et grattoir usagé avec bout et angles bien arrondis facilite le grattage et n' entame pas le plastique.
Une protection des yeux, de la tête -bonnet- masque et habit couvrant doit permettre de se protéger de cette poussière de mousse orange.
Pour enlever le reste de mousse au dos de la moquette un aspirateur avec une brosse en poils durs.
Là, on voit que l' aiguilleté léger est presque "transparent", donc ce ciel de toit est un insonorisant en plus du cache plastique.
J 'ai tracé au feutre deux repères dans l' axe à l'avant et à l'arrière du "rectangle" de moquette côté caché.
J' ai fait la même opération dans l' axe du toit en prenant le milieu avant et arrière de la zone plastique du toît.
Avec un bombe Sader_Néoprène_Multi_Usage_500ml à moins de 20 euros dans toutes le enseignes de bricolage.
J' ai encollé une bande de 20cm de large autour de l' axe côté caché en plusieurs passages.
Avec cet aérosol, la précision d' encollage est très bonne, au cm près. Il génère une ligne verticale de 15cm très étroite qui en la déplaçant de gauche à droite permet d' encoller des surfaces aisément.
Je n'ai pas encollé le toit.
Sans attendre, j' ai positionné les repères en maintenant la partie encollée d'une main, vérifié avec l'autre main, que les quatre coins se positionnaient bien.
Je maroufle à la main la partie centrale et elle tient suffisamment assez vite.
Les parties gauche et droites de la moquette pendent, je les encollent et les marouflent l' une après l'autre.
Je passe les bords le la moquette entre le plastique du toit et la structure en tôle galvanisée.
Pareil pour l' entourage qui pendouille avec le couteau à mastiquer et grattoir.
Le travail est loin d' être parfait, mais pour l'instant, ça tient et c'est mieux que ces guirlandes de mousse orange. Mais avant de faire le reste, je vais attendre l'été pour voir si comme je l' ai lu, le réchauffement climatique décollait les ciels de toits.
J' ai fait cela seul, et je n' avais pas mon appareil photo.
Astronaute.
Bonjour à toutes et tous,
Tous les possesseurs d' Espace 2 de plus de vingt ans, sont confrontés au "Ciel qui leur tombe sur la tête". Voici ma version, ... enfin la première partie.
J' ai recollé le ciel de toit avant. Il me restera le milieu qui est déjà tombé, puis l' arrière au dessus du coffre qui commence à montrer des signes de faiblesse.
J' ai parcouru le forum et je crois avoir tout lu, ou presque sur le sujet.
Sur mon Espace 2 de 1993, le ciel de toit est composé de trois éléments une moquette grise genre aiguilleté léger et mince de 3mm environ, une mousse qui s'est complètement désagrégée avec le temps en prenant une teinte orange et un voile intissé blanc.
A l' aide d'un couteau à mastiquer et grattoir j' ai gratté le voile intissé blanc et le reste de mousse qui restait sur le toit. Le couteau à mastiquer et grattoir usagé avec bout et angles bien arrondis facilite le grattage et n' entame pas le plastique.
Une protection des yeux, de la tête -bonnet- masque et habit couvrant doit permettre de se protéger de cette poussière de mousse orange.
Pour enlever le reste de mousse au dos de la moquette un aspirateur avec une brosse en poils durs.
Là, on voit que l' aiguilleté léger est presque "transparent", donc ce ciel de toit est un insonorisant en plus du cache plastique.
J 'ai tracé au feutre deux repères dans l' axe à l'avant et à l'arrière du "rectangle" de moquette côté caché.
J' ai fait la même opération dans l' axe du toit en prenant le milieu avant et arrière de la zone plastique du toît.
Avec un bombe Sader_Néoprène_Multi_Usage_500ml à moins de 20 euros dans toutes le enseignes de bricolage.
J' ai encollé une bande de 20cm de large autour de l' axe côté caché en plusieurs passages.
Avec cet aérosol, la précision d' encollage est très bonne, au cm près. Il génère une ligne verticale de 15cm très étroite qui en la déplaçant de gauche à droite permet d' encoller des surfaces aisément.
Je n'ai pas encollé le toit.
Sans attendre, j' ai positionné les repères en maintenant la partie encollée d'une main, vérifié avec l'autre main, que les quatre coins se positionnaient bien.
Je maroufle à la main la partie centrale et elle tient suffisamment assez vite.
Les parties gauche et droites de la moquette pendent, je les encollent et les marouflent l' une après l'autre.
Je passe les bords le la moquette entre le plastique du toit et la structure en tôle galvanisée.
Pareil pour l' entourage qui pendouille avec le couteau à mastiquer et grattoir.
Le travail est loin d' être parfait, mais pour l'instant, ça tient et c'est mieux que ces guirlandes de mousse orange. Mais avant de faire le reste, je vais attendre l'été pour voir si comme je l' ai lu, le réchauffement climatique décollait les ciels de toits.
J' ai fait cela seul, et je n' avais pas mon appareil photo.
Astronaute.