Bonjour à tous et à toutes
Empêcher ce sujet de s'automourrir ça serait top non????
Bon ça en est où cette histoire d'accélération frileuse?
J'aimerai faire une suggestion...
concernant les vapeurs d'huile dans le circuit d'admission.
Avec un collègue nous avons tombé mon G9tb710 donc identique à celui de Titouille42 en somme.
Au moment du démontage des radiateurs j'ai remarqué qu'il y avait pas mal d'huile dans le circuit d'admission un peu partout mais surtout au niveau de l'intercooler alias le radiateur du turbo.
C'est dû à la présence du reniflard d'huile qui se trouve sur le carter d'admission en plastique (en haut du moteur) ce premier étant relié en parallèle sur l'admission d'entrée d'air de turbo.
Bon !!!!?(là j'ouvre une parenthèse) dans la conception ancienne, du temps des r8 sergent major et r12 Gordini, et j'en passe je comprends très bien cette méthodologie.... Mais aujourd'hui ? Est-ce toujours réellement nécessaire tant d'huile dans l'admission? Le moteur en lui même étant suffisamment lubrifié pourquoi continué à saturer nos très ''chers'' admissions en huile grasse et le rendre moins efficace et je vous le demande? La vanne Egr le fait déjà très bien à lui seul... Dans ce cas autant retourner au temps des essences mélange comme pour mon 103 xp

( je referme la parenthèse)
j'ai ressorti mes cours meca sur l'injection diesel haute pression, rubrique
-Le circuit d'admission en air...
Pourquoi ?je m'explique (attan attan....)
Je ne vais pas exposer ici le principe de fonctionnement que tout le monde ''devrait'' connaître, disons plutôt que par association d'idée je lance une hypothèse:
''c'est le colonel moutarde....qui....

Euh non c'est pas ça

"
Non plus sérieusement :
sur le circuit air,il y à :
- le débitmètre à film chaud en entrée d'air qui mesure le flux d'air juste derrière le filtre à air, lui faisant une première mesure,
-une sonde de pression d'air admission juste avant l'intercooler faisant à son tour une seconde mesure, jusque là tout le monde comprends...
Donc un qui compte l'air qui entre au turbo et l'autre l'air qui en ressort (pression de suralimentation) et de cette relation nous obtenons l'information qui ira au calculateur d'injection qui à son tour donnera le courant de maintien du temps d'injection et l'impulsion à l'électrovanne de turbo qui agira par ''vide'' sur le wastegate, augmentant ou diminuant l'action de la soupapes de suralimentation du turbo.
Jusque là c'est du thé au riz donc tout le monde suie (humour de dieseliste Orientale pardon hahaha):lol:
Allez, on reprend,
Donc, dans cette théorie,
si une pression est anormal sur un des capteurs in ou out, le temps de maintien sur le graph injection sera plus court et l'injection sera interrompu. Du coup en plein charge le moteur s'étranglera et s'éteindra logique non?
Je dis bien c'est une hypothèse.....
Le fais d'appuyer sur la pédale d'accélérateur, donc de faire appel à un courant de maintien plus long, on se retrouve avec une inéquation dans le calcul d'admission, ce qui entraînerait la ''fin de commande'' d'injection et la coupure de l'alimentation du moteur en carburant.... Car la sonde de pression d'air admission aura reçu une information erroné à cause de la saturation de l' intercooler en huile...
HORS un passage au clip, en mode statistique donc au garage aucun défaut ne pourra être constaté car les pressions in et out seront constante du fait qu'aucune charge n'est impliquée au moteur.
Voilà..... Oui, je sais c'est un peu brouillon technique mais les plus avancé devraient comprendre je pense
Vous en pensez quoi vous même ?
Et toi Titouille42 ?