Cartes postales
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Re: Cartes postales
Contente de revoir tes cartes postales
Grand Espace III Initiale 98 240000km
Grand Espace III RXT (type JE0HL5) Belge août 98, réimporté en nov 98, 389700 km.
========================================
Si vous souhaitez une réponse, n'oubliez pas les étapes:
1°) Présentation => 2°) Infos du véhicule dans le profil=> 3°) Utiliser la fonction recherche=> 4°) Respecter les règles du site... Bref, suivre
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- Fou (folle) du volant
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- Finition : The Race
- Année : 2002
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Re: Cartes postales
Merci Philou d'avoir stocké tes cartes... sur le fessebouc, personne n'a son nom, on sait pas avec qui on clavarde... et pas de cartes postales...
Merci cheffe Sophie pour le travail de romain à remettre ce site sur ses roues !!
Bonjour à tous et toutes, !
Merci cheffe Sophie pour le travail de romain à remettre ce site sur ses roues !!
Bonjour à tous et toutes, !
Espace 3 phase 2 2.2 DCi 130 "The Race" / 220000 km
en remplacement d'un Espace 2 TD "Grand Ecran"7 430000 km
BMW R75/6 carénage MBv plus de 500000 km, je les ai tous faits !
et des tas de km en CX Tissier Bagagère Hollander France, en Simca 1000, Ford Fiesta et Escort
en Volvo 740 aussi ( mais je ne la regrette pas ! )
en remplacement d'un Espace 2 TD "Grand Ecran"7 430000 km
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- Fou (folle) du volant
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Re: Cartes postales
Merci Philou d'avoir stocké tes cartes... sur le fessebouc, personne n'a son nom, on sait pas avec qui on clavarde... et pas de cartes postales...
Merci cheffe Sophie pour le travail de romain à remettre ce site sur ses roues !!
Bonjour à tous et toutes, !
Merci cheffe Sophie pour le travail de romain à remettre ce site sur ses roues !!
Bonjour à tous et toutes, !
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en Volvo 740 aussi ( mais je ne la regrette pas ! )
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- Miharu59
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Re: Cartes postales
Tu commence a radoter attention
Tu as posté double comme moi hier , le forum a encore quelques ralenti pour posté, et nos messages sont parfois doublé
Ravi de te retrouver à nouveau sur se sublime forum
Mes véhicules
R25 phase 2 année 1989 bacarat ambre gris tungstène 156cv 2.8i v6
Renault 25 GTX phase 2 1988 2.2 i 126cv gris tungstène
Renault Talisman Initial Paris 1.6 Tce 200cv noir améthyste 110.000km
Grand Espace IV 3.5 V6 initial Paris 2002 noire nacrée
Grand Espace III RXT vert lichen 3.0 V6 24v 2000
De la famille
Renault kadjar 1.5 dci buisnes 2018 88.000km
Renault velsatis 2.0 dci 150 de 2006 284.000km
Renault 21 manager 1992 217.000km
Citroën Bx exclusif 1.9tdi 240.000km 1989 à vendre
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- Pilou29
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- Année : 1984
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- 2ème modèle : [Espace III 2.0 16V BVA]
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- Année : 2001
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- 3ème modèle : [Avantime V6-24 BVM]
- Finition : AVANTIME :
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Re: Cartes postales
Merci Philou
Espace I 2000 TSE (futur collector N° 2298 de septembre 1984 - le bonheur : pas d'électronique, ou presque )
__________
Espace II V6 Auto 1996 Bleu Boite HS (Parti à la casse !)
Espace III Privilège 2.0 16v Proactive 2001
Le petit dernier : Avantime V6 Privilège
La puce : Twingo 2001 jaune
Pépère ; Camping Car collector Ford 1988
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Espace II V6 Auto 1996 Bleu Boite HS (Parti à la casse !)
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- Philou 33
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Re: Cartes postales
les origines de Noyers-sur-Serein
Fondé par le roi du peuple Sequane avant la conquête romaine ou par un contemporain de Jules César dénommé "Lucidorius" qui aurait donné à la ville son premier nom Lucida, les origines de Noyers ne sont pas très claires.
Une chose est sûre, à partir du XIIème siècle, la cité devient le siège d’une puissante famille qui donna à la France des hommes illustres. Gui de Noyers, Évêque de Sens, couronna Philippe Auguste en 1180. Miles X fait Maréchal de France par Philippe le Bel en 1303, commanda pour sa dernière mission au nom du roi de France, Philippe IV de Valois, la fine fleur de la chevalerie française qui se fit tailler en pièce à Crécy, par les fantassins anglais.
A la fin du XIIème siècle, Hugues de Noyers, Évêque d’Auxerre, fit construire "un des plus fier castel de France" lequel fut assiégé et résista aux assauts des troupes de Blanche de Navarre en 1217.
En 1419, après l’extinction de la dynastie des Miles, la seigneurie de Noyers passe aux mains des Ducs de Bourgogne. Le prince de Condé, devenu comte de Noyers, fait de son fief un pôle de résistance huguenote et s'y réfugie en 1568 après l’échec de la conjuration d’Amboise. Catherine de Médicis le déloge, faisant capituler la garnison.
Devenue un temps repaire du Baron de Vitteaux, plus brigand que seigneur, le château fut démantelé par Henri IV en 1599 après la capture de son propriétaire. Après une longue période de léthargie, la ville renaît sous l’impulsion du duc de Luynes qui épouse la dernière descendante des Condé en 1710.
Place du marché au blé, place et rue de la petite étape aux vins sont des noms qui témoignent de la vocation agricole de la cité depuis longtemps. Le commerce du vin et du grain était florissant, de nombreux documents attestent de l’importance des vignes, des noyers, des cerisiers sur les collines qui l’entourent. D'ailleurs, jusqu’à l’aube du XXème siècle, cercliers, charrons, bourreliers, tonneliers, maréchaux-ferrants, cordonniers ont représenté une bonne partie de l’artisanat local. On comptait, au recensement de 1861, 128 vignerons et 25 laboureurs. Aujourd'hui encore, même si leur nombre a considérablement diminué, les agriculteurs ont encore toute leur place, et Noyers quoique tourné vers l’avenir, a toujours un pied ancré dans la ruralité qui en fait une de ses spécificité
Fondé par le roi du peuple Sequane avant la conquête romaine ou par un contemporain de Jules César dénommé "Lucidorius" qui aurait donné à la ville son premier nom Lucida, les origines de Noyers ne sont pas très claires.
Une chose est sûre, à partir du XIIème siècle, la cité devient le siège d’une puissante famille qui donna à la France des hommes illustres. Gui de Noyers, Évêque de Sens, couronna Philippe Auguste en 1180. Miles X fait Maréchal de France par Philippe le Bel en 1303, commanda pour sa dernière mission au nom du roi de France, Philippe IV de Valois, la fine fleur de la chevalerie française qui se fit tailler en pièce à Crécy, par les fantassins anglais.
A la fin du XIIème siècle, Hugues de Noyers, Évêque d’Auxerre, fit construire "un des plus fier castel de France" lequel fut assiégé et résista aux assauts des troupes de Blanche de Navarre en 1217.
En 1419, après l’extinction de la dynastie des Miles, la seigneurie de Noyers passe aux mains des Ducs de Bourgogne. Le prince de Condé, devenu comte de Noyers, fait de son fief un pôle de résistance huguenote et s'y réfugie en 1568 après l’échec de la conjuration d’Amboise. Catherine de Médicis le déloge, faisant capituler la garnison.
Devenue un temps repaire du Baron de Vitteaux, plus brigand que seigneur, le château fut démantelé par Henri IV en 1599 après la capture de son propriétaire. Après une longue période de léthargie, la ville renaît sous l’impulsion du duc de Luynes qui épouse la dernière descendante des Condé en 1710.
Place du marché au blé, place et rue de la petite étape aux vins sont des noms qui témoignent de la vocation agricole de la cité depuis longtemps. Le commerce du vin et du grain était florissant, de nombreux documents attestent de l’importance des vignes, des noyers, des cerisiers sur les collines qui l’entourent. D'ailleurs, jusqu’à l’aube du XXème siècle, cercliers, charrons, bourreliers, tonneliers, maréchaux-ferrants, cordonniers ont représenté une bonne partie de l’artisanat local. On comptait, au recensement de 1861, 128 vignerons et 25 laboureurs. Aujourd'hui encore, même si leur nombre a considérablement diminué, les agriculteurs ont encore toute leur place, et Noyers quoique tourné vers l’avenir, a toujours un pied ancré dans la ruralité qui en fait une de ses spécificité
- Miharu59
- Fou (folle) du volant
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Re: Cartes postales
Bon dimanche philou profite de se beau soleil
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- Philou 33
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Re: Cartes postales
La commune de Montsauche les Settons.
(540 habitants), s'étend sur 4626 hectares de forêts et de prairies. Elle regroupe autour du bourg, différents hameaux qui vivent essentiellement de l'agriculture ou du tourisme pour le tour du lac des Settons. A 590m d'altitude, le bourg combine joliment modernité et authenticité, tandis que les hameaux ont gardé leur aspect d'antan. En plein cœur du Morvan, une terre de granit, moyenne montagne qui possède une richesse naturelle incomparable et dont les habitants ont su préserver l'environnement et l'identité.
Montsauche Les Settons appartient au territoire des grands lacs du Morvan. La dispersion de ses habitations, l'immensité de ses paysages, la pureté de ses eaux, lui donnent un caractère particulier et unique. A quelques kilomètres de Saulieu, Château-Chinon, Avallon et Autun, Montsauche-les Settons se situe au nord-est de la Nièvre, carrefour entre les quatre départements bourguignons, la station verte de vacances est une destination incontournable pour les amateurs de tourisme vert et de loisirs de pleine nature.
La commune de Montsauche Les Settons se situe en Bourgogne, au cœur de sa zone naturelle la plus préservée : le Parc Naturel Régional du Morvan. Chef-lieu de canton dans le département de la Nièvre, Montsauche-Les Settons est en pleine zone rurale, la commune se compose d'un bourg, de la moitié du lac des Settons et de quelques hameaux dispersés çà et là. Les hameaux vivent principalement de l'élevage bovin et de la culture des sapins de Noël, le tour du lac est essentiellement tourné vers le tourisme. Le bourg est situé à 3 km du lac, il regroupe tous les commerces et services de proximité nécessaires.
Un nombre important de loisirs et d'activités sont proposées aux vacanciers pendant la saison estivale. La base départementale ActiVital située sur la rive droite du lac des Settons est le principal prestataire de sports nautiques et de loisirs de pleine nature du canton. Ecole Française de Voile, elle propose, outre un hébergement collectif de plus de 100 lits (chambres, camping, chalets loisirs, restauration…), des activités diversifiées, encadrées ou non, de la voile (catamaran, planche à voile, dériveur, Optimist…) du VTT, parcours d'orientation, canoë kayak, sports d'eau vive (rafting, kayak…) mais également : ski nautique, aviron, tennis, volley . La plage de la Presqu'ile reçoit le label Pavillon bleu depuis 2010
On peut pratiquer autour du Lac des Settons : la randonnée pédestre, équestre et VTT sur des circuits balisés : Tour du lac, boucle de la folie, les Settons-Gouloux, le tour du Bois du grand champ… Notre commune est traversée par le GR13, plusieurs GR de pays et le tour équestre du Morvan. Autour du lac il existe également un mini golf, des locations de Pédalos, barques, bateaux électriques et un mini port pour les enfants.
Montsauche Les Settons recèle de trésors patrimoniaux : le plan d'eau par lui-même, le barrage et la maison du garde, monuments historiques classés, l'église Saint Barthélemy dans le bourg, "la Foudre " de Louis Chavignier, une œuvre d'art contemporaine… Deux bateaux à passagers proposent la visite du tour du lac pendant l'été et emmènent les visiteurs à la découverte de ses rives au cours d'une visite guidée.
(540 habitants), s'étend sur 4626 hectares de forêts et de prairies. Elle regroupe autour du bourg, différents hameaux qui vivent essentiellement de l'agriculture ou du tourisme pour le tour du lac des Settons. A 590m d'altitude, le bourg combine joliment modernité et authenticité, tandis que les hameaux ont gardé leur aspect d'antan. En plein cœur du Morvan, une terre de granit, moyenne montagne qui possède une richesse naturelle incomparable et dont les habitants ont su préserver l'environnement et l'identité.
Montsauche Les Settons appartient au territoire des grands lacs du Morvan. La dispersion de ses habitations, l'immensité de ses paysages, la pureté de ses eaux, lui donnent un caractère particulier et unique. A quelques kilomètres de Saulieu, Château-Chinon, Avallon et Autun, Montsauche-les Settons se situe au nord-est de la Nièvre, carrefour entre les quatre départements bourguignons, la station verte de vacances est une destination incontournable pour les amateurs de tourisme vert et de loisirs de pleine nature.
La commune de Montsauche Les Settons se situe en Bourgogne, au cœur de sa zone naturelle la plus préservée : le Parc Naturel Régional du Morvan. Chef-lieu de canton dans le département de la Nièvre, Montsauche-Les Settons est en pleine zone rurale, la commune se compose d'un bourg, de la moitié du lac des Settons et de quelques hameaux dispersés çà et là. Les hameaux vivent principalement de l'élevage bovin et de la culture des sapins de Noël, le tour du lac est essentiellement tourné vers le tourisme. Le bourg est situé à 3 km du lac, il regroupe tous les commerces et services de proximité nécessaires.
Un nombre important de loisirs et d'activités sont proposées aux vacanciers pendant la saison estivale. La base départementale ActiVital située sur la rive droite du lac des Settons est le principal prestataire de sports nautiques et de loisirs de pleine nature du canton. Ecole Française de Voile, elle propose, outre un hébergement collectif de plus de 100 lits (chambres, camping, chalets loisirs, restauration…), des activités diversifiées, encadrées ou non, de la voile (catamaran, planche à voile, dériveur, Optimist…) du VTT, parcours d'orientation, canoë kayak, sports d'eau vive (rafting, kayak…) mais également : ski nautique, aviron, tennis, volley . La plage de la Presqu'ile reçoit le label Pavillon bleu depuis 2010
On peut pratiquer autour du Lac des Settons : la randonnée pédestre, équestre et VTT sur des circuits balisés : Tour du lac, boucle de la folie, les Settons-Gouloux, le tour du Bois du grand champ… Notre commune est traversée par le GR13, plusieurs GR de pays et le tour équestre du Morvan. Autour du lac il existe également un mini golf, des locations de Pédalos, barques, bateaux électriques et un mini port pour les enfants.
Montsauche Les Settons recèle de trésors patrimoniaux : le plan d'eau par lui-même, le barrage et la maison du garde, monuments historiques classés, l'église Saint Barthélemy dans le bourg, "la Foudre " de Louis Chavignier, une œuvre d'art contemporaine… Deux bateaux à passagers proposent la visite du tour du lac pendant l'été et emmènent les visiteurs à la découverte de ses rives au cours d'une visite guidée.
- Philou 33
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Re: Cartes postales
Après avoir appartenu au Saint Empire Germanique, au duché de Bourgogne, aux Pays-Bas bourguignons, Pesmes devient Français, en 1678, sous Louis XIV, par le traité de Nimègue.
Édifices civils
En nombre sur la commune dont :
Forges de Pesmes
Vue des Forges de Pesmes, canal d'amenée sur l'Ognon et bâtiment des hauts-fourneaux.
Les Forges de Pesmes sont un établissement métallurgique industriel fondé en 1660 par Claude de la Baume pour la fabrication d'armes sur les bords de la rivière Ognon, à l'extrême sud du département de la Haute-Saône.
Chateau des forges
Enceinte médiévale de Pesmes (XIIIe siècle)
Édifices civils
En nombre sur la commune dont :
Forges de Pesmes
Vue des Forges de Pesmes, canal d'amenée sur l'Ognon et bâtiment des hauts-fourneaux.
Les Forges de Pesmes sont un établissement métallurgique industriel fondé en 1660 par Claude de la Baume pour la fabrication d'armes sur les bords de la rivière Ognon, à l'extrême sud du département de la Haute-Saône.
Chateau des forges
Enceinte médiévale de Pesmes (XIIIe siècle)
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Re: Cartes postales
Merci Philou et heureux que toute ton œuvre ai pu être conservée.
Espace III 2.2 dCi 130cv, Diesel, moteur G9T, Novembre 2000, 167300 km
Espace III 2.2 DT 372706 km à la casse en nov 2016
Espace II 2.2 TD 260300 km à la casse en sept 2012
Espace III 2.2 DT 372706 km à la casse en nov 2016
Espace II 2.2 TD 260300 km à la casse en sept 2012
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Re: Cartes postales
Histoire de Bourbonne-les-Bains
Au milieu du XIIe siècle, des Templiers, en provenance de la commanderie de La Romagne, s'installent à Genrupt, au sud de la commune, grâce à un don de Foulques de Bourbonne et de Guy de Vieux-Chatel. La maison des Templiers créée prit de l'importance et devint une commanderie à part entière au cours du XIIIe siècle.
Du XIVe au XVIIe siècle, les bains sont régulièrement cités parmi les revenus des seigneurs de Bourbonne.
Un incendie ravage la commune le 1er mai 1717, à l'exception d'une quarantaine de maisons sur le coteau des bains, mais l'ouverture en 1735 de l'hôpital militaire royal, puis la construction d'un établissement thermal avec des cabines particulières par M. de Mesme d’Avaux, Seigneur de Bourbonne, à partir de 1783, sur les plans de l'architecte Pierre-Adrien Pâris, marquent le début de la grande période du thermalisme à Bourbonne-les-Bains, qui a encore été favorisé par l'arrivée du chemin de fer à la fin du XIXe siècle.
Les travaux préliminaires à la construction des thermes modernes furent l'occasion d'observations archéologiques qui permirent d'identifier la source principale aménagée à l'époque antique, consistant en deux étuves voûtées, un bassin revêtu de plomb, ainsi qu'une vaste salle à double rangée de colonnes qui donnait accès à plusieurs piscines. Des salles chauffées par hypocauste furent également mis au jour.
Révolution française et Empire
Bourbonne-les-Bains fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Alors que les comités de surveillance sont prévus dans chaque commune par la loi du 21 mars 1793, celui de Bourbonne n'est créé que fin avril. Ses pouvoirs sont renforcés par la loi du 14 frimaire An II, qui lui attribue la surveillance de l’application des lois en concurrence avec les municipalités. Il dénonce les demandes salariales des ouvriers agricoles, jugées trop élevées, et le trafic d’effets militaires effectué par les volontaires de 1792. Il encourage les dons pour les volontaires aux armées de la République et organise la surveillance des hôpitaux militaires.
Gravure de 1838
En 1810, l'architecte Louis-Ambroise Dubut est chargé par le gouvernement de délicats travaux d'extension des bains publics dans le style toscan .
En mettant fin au système féodal, la Révolution française remet en cause la possession des seigneurs, d'aucun estimant que les sources thermales, alors qu’elles concourent à la santé publique, devraient être remises à la nation. Mais c’est seulement en 1812 que Napoléon Ier achète pour le compte de l’État, à Madame de Chartraire, dernier seigneur possesseur en date du domaine, sous la menace d’une expropriation et invoquant l’utilité publique, les bains et sources de Bourbonne.
Au-delà de ces motifs d'intérêt national, deux raisons plus personnelles auraient justifié la décision de l'empereur. La première est qu'il connaissait les vertus des eaux bourbonnaises puisque sa mère Letizia Buonaparte en avait éprouvé du bien lorsqu'elle s'y était rendu à l'époque où il était lui-même à l’école de Brienne. La seconde serait que, soucieux de la restauration de la santé de ses soldats après les combats, il aurait souhaité en envoyer à Bourbonne.
En 1834, de nouveaux travaux sont pilotés par l'architecte départemental Chaussier-Cousturier.
Napoléon III visitera Bourbonne en 1865. L’établissement thermal apparaît alors vétuste, et les sources mal captées n’ont plus un débit suffisant. De 1863 à 1874, les ingénieurs des mines Drouot et Rigaud procèdent à de nouveaux forages et captages. Les anciens thermes sont démolis et remplacé par une imposante construction exécutée de 1880 à 1883.
Époque contemporaine
Des soldats américains du 92e devant le Q.G. de division
La place de Verdun
Avec l'arrivée de l'armée américaine pendant la première guerre mondiale en 1917 et l’installation de son quartier général à Chaumont, Bourbonne devient une zone d'entraînement divisionnaire. Le 6 février 1918, un hôpital militaire est installé dans un hôtel et soigne 5 545 malades. Un dépôt de remonte est aussi initié et il comprenait une clinique vétérinaire ayant sept officiers et trois cents hommes. C'est dans cette ZED que fut entrainé la 92e division d'infanterie. En 1972, les communes de Genrupt et de Villars-Saint-Marcellin fusionnent avec Bourbonne-les-Bains.
La place des Bains
À partir des années 1970, Bourbonne vit une période de destructions importantes : « Entre 1971 et 1978, ce sont trois fleurons de la ville qui disparaissent : le château de Montmorency (la plus belle propriété de la ville au début du XXe siècle), son parc et la porte des anciens bains civils de l'ex-établissement thermal ».
En 1977, la rénovation totale du bâtiment des thermes entraîne des destructions archéologiques irréversibles. Des murs antiques sont attaqués au marteau-piqueur et à la pelleteuse. Des chapiteaux, ex-voto en bois et autres vestiges, dont une statue de la déesse Damona, sont néanmoins sauvés in extremis des tas de déblais par des archéologues et le Centre d'études nucléaires de Grenoble, par utilisation de rayonnement gamma notamment, sur ce qui constitue l'un des plus grands sanctuaires thermaux du Nord de la Gaule.
Il reste toutefois bien des sujets qui mériteraient étude, et « peut-être faudra-t-il attendre la destruction de l'actuel établissement dans quelques siècles pour faire de nouvelles découvertes ».
Au milieu du XIIe siècle, des Templiers, en provenance de la commanderie de La Romagne, s'installent à Genrupt, au sud de la commune, grâce à un don de Foulques de Bourbonne et de Guy de Vieux-Chatel. La maison des Templiers créée prit de l'importance et devint une commanderie à part entière au cours du XIIIe siècle.
Du XIVe au XVIIe siècle, les bains sont régulièrement cités parmi les revenus des seigneurs de Bourbonne.
Un incendie ravage la commune le 1er mai 1717, à l'exception d'une quarantaine de maisons sur le coteau des bains, mais l'ouverture en 1735 de l'hôpital militaire royal, puis la construction d'un établissement thermal avec des cabines particulières par M. de Mesme d’Avaux, Seigneur de Bourbonne, à partir de 1783, sur les plans de l'architecte Pierre-Adrien Pâris, marquent le début de la grande période du thermalisme à Bourbonne-les-Bains, qui a encore été favorisé par l'arrivée du chemin de fer à la fin du XIXe siècle.
Les travaux préliminaires à la construction des thermes modernes furent l'occasion d'observations archéologiques qui permirent d'identifier la source principale aménagée à l'époque antique, consistant en deux étuves voûtées, un bassin revêtu de plomb, ainsi qu'une vaste salle à double rangée de colonnes qui donnait accès à plusieurs piscines. Des salles chauffées par hypocauste furent également mis au jour.
Révolution française et Empire
Bourbonne-les-Bains fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Alors que les comités de surveillance sont prévus dans chaque commune par la loi du 21 mars 1793, celui de Bourbonne n'est créé que fin avril. Ses pouvoirs sont renforcés par la loi du 14 frimaire An II, qui lui attribue la surveillance de l’application des lois en concurrence avec les municipalités. Il dénonce les demandes salariales des ouvriers agricoles, jugées trop élevées, et le trafic d’effets militaires effectué par les volontaires de 1792. Il encourage les dons pour les volontaires aux armées de la République et organise la surveillance des hôpitaux militaires.
Gravure de 1838
En 1810, l'architecte Louis-Ambroise Dubut est chargé par le gouvernement de délicats travaux d'extension des bains publics dans le style toscan .
En mettant fin au système féodal, la Révolution française remet en cause la possession des seigneurs, d'aucun estimant que les sources thermales, alors qu’elles concourent à la santé publique, devraient être remises à la nation. Mais c’est seulement en 1812 que Napoléon Ier achète pour le compte de l’État, à Madame de Chartraire, dernier seigneur possesseur en date du domaine, sous la menace d’une expropriation et invoquant l’utilité publique, les bains et sources de Bourbonne.
Au-delà de ces motifs d'intérêt national, deux raisons plus personnelles auraient justifié la décision de l'empereur. La première est qu'il connaissait les vertus des eaux bourbonnaises puisque sa mère Letizia Buonaparte en avait éprouvé du bien lorsqu'elle s'y était rendu à l'époque où il était lui-même à l’école de Brienne. La seconde serait que, soucieux de la restauration de la santé de ses soldats après les combats, il aurait souhaité en envoyer à Bourbonne.
En 1834, de nouveaux travaux sont pilotés par l'architecte départemental Chaussier-Cousturier.
Napoléon III visitera Bourbonne en 1865. L’établissement thermal apparaît alors vétuste, et les sources mal captées n’ont plus un débit suffisant. De 1863 à 1874, les ingénieurs des mines Drouot et Rigaud procèdent à de nouveaux forages et captages. Les anciens thermes sont démolis et remplacé par une imposante construction exécutée de 1880 à 1883.
Époque contemporaine
Des soldats américains du 92e devant le Q.G. de division
La place de Verdun
Avec l'arrivée de l'armée américaine pendant la première guerre mondiale en 1917 et l’installation de son quartier général à Chaumont, Bourbonne devient une zone d'entraînement divisionnaire. Le 6 février 1918, un hôpital militaire est installé dans un hôtel et soigne 5 545 malades. Un dépôt de remonte est aussi initié et il comprenait une clinique vétérinaire ayant sept officiers et trois cents hommes. C'est dans cette ZED que fut entrainé la 92e division d'infanterie. En 1972, les communes de Genrupt et de Villars-Saint-Marcellin fusionnent avec Bourbonne-les-Bains.
La place des Bains
À partir des années 1970, Bourbonne vit une période de destructions importantes : « Entre 1971 et 1978, ce sont trois fleurons de la ville qui disparaissent : le château de Montmorency (la plus belle propriété de la ville au début du XXe siècle), son parc et la porte des anciens bains civils de l'ex-établissement thermal ».
En 1977, la rénovation totale du bâtiment des thermes entraîne des destructions archéologiques irréversibles. Des murs antiques sont attaqués au marteau-piqueur et à la pelleteuse. Des chapiteaux, ex-voto en bois et autres vestiges, dont une statue de la déesse Damona, sont néanmoins sauvés in extremis des tas de déblais par des archéologues et le Centre d'études nucléaires de Grenoble, par utilisation de rayonnement gamma notamment, sur ce qui constitue l'un des plus grands sanctuaires thermaux du Nord de la Gaule.
Il reste toutefois bien des sujets qui mériteraient étude, et « peut-être faudra-t-il attendre la destruction de l'actuel établissement dans quelques siècles pour faire de nouvelles découvertes ».
- moulino51
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Re: Cartes postales
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Gé
+1, et toutes ces belles voitures qui ont bercées notre jeunesse.
Gé
Espace III 130 Poneys The Race de nouveau sur la route mais ne sert pas souvent
Clio électrique 1998 (vendue) remplacée par une VW e-UP 2.0 (une petite bombe )
"Il ne suffit pas de regarder quelle planète nous allons laisser à nos enfants mais aussi quels enfants nous laisserons à la planète"
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- Dalton
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Re: Cartes postales
Salut Philou .
Merci pour tes cartes postales .
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- Philou 33
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Re: Cartes postales
Une évolution dans l'activité économique du village
L'économie du village a été favorisée par sa proximité des deux voies de commerce ; le Rhône, une voie fluviale de communication importante autrefois, et la "grande route" construite par les romains et permettant l'accès d' Arles au Sud et de Lyon au Nord.
Au XIVème siècle, le village connait sa prospérité grâce à la chaux, les tuiles, le sel et la culture de la vigne.
A l'origine du nom que portait le village au XIIIème siècle, la chaux utilisée pour la construction connait un essor et la demande se fait grandissante dans tout le Comtat. La qualité et la quantité de la chaux produite alors à Châteauneuf- Calcenier fait la prospérité du village. La vente de tuiles serait alors associée à ce succès.
L'évêque d'Avignon accède en 1238 au droit de posséder un port franc pour le commerce de sel, port établi sur le Rhône près de Châteauneuf où les navires marchands de sel peuvent y décharger leur marchandise sans être soumis à l'imposition instaurée sur d'autres ports du Rhône.
Le sel devient à l'époque une source de revenu importante pour le village qui bénéficie d'un statut spécial.
L'arrivée des Papes dans le village, début du XIVème siècle est à l'origine du dynamisme économique du village. De nombreux habitants du village sont employés mais arrivent aussi de nombreux ouvriers et artisans de l'extérieur qu'il faut nourri et loger. Tous œuvrent à la construction du château. Le port de Châteauneuf joue un rôle prépondérant dans l'approvisionnement des matériaux autres que la chaux, les tuiles et la pierre des carrières du village. Le commerce et l'artisanat sont florissants.
Au XIVème siècle, la vigne occupe quasiment la moitié des surfaces cultivées, l'autre moitié des terres étant consacrées aux céréales. La culture de la rose est aussi présente ainsi que celle des oliviers.
Au fil des siècles, la culture de la vigne a pris une place prépondérante dans l'économie du village.
Géologie
La grande majorité du terroir de Châteauneuf-du-Pape, principalement sur les hautes terrasses des Atouts, est constitué de terrasses alluvionnaires où des galets de quartzite, roulés par le Rhône, se sont englués dans une matrice rouge d'argile décomposée. Les gros galets qui recouvrent le sol restituent aux raisins durant la nuit la chaleur qu'ils ont emmagasinée le jour.
L'économie du village a été favorisée par sa proximité des deux voies de commerce ; le Rhône, une voie fluviale de communication importante autrefois, et la "grande route" construite par les romains et permettant l'accès d' Arles au Sud et de Lyon au Nord.
Au XIVème siècle, le village connait sa prospérité grâce à la chaux, les tuiles, le sel et la culture de la vigne.
A l'origine du nom que portait le village au XIIIème siècle, la chaux utilisée pour la construction connait un essor et la demande se fait grandissante dans tout le Comtat. La qualité et la quantité de la chaux produite alors à Châteauneuf- Calcenier fait la prospérité du village. La vente de tuiles serait alors associée à ce succès.
L'évêque d'Avignon accède en 1238 au droit de posséder un port franc pour le commerce de sel, port établi sur le Rhône près de Châteauneuf où les navires marchands de sel peuvent y décharger leur marchandise sans être soumis à l'imposition instaurée sur d'autres ports du Rhône.
Le sel devient à l'époque une source de revenu importante pour le village qui bénéficie d'un statut spécial.
L'arrivée des Papes dans le village, début du XIVème siècle est à l'origine du dynamisme économique du village. De nombreux habitants du village sont employés mais arrivent aussi de nombreux ouvriers et artisans de l'extérieur qu'il faut nourri et loger. Tous œuvrent à la construction du château. Le port de Châteauneuf joue un rôle prépondérant dans l'approvisionnement des matériaux autres que la chaux, les tuiles et la pierre des carrières du village. Le commerce et l'artisanat sont florissants.
Au XIVème siècle, la vigne occupe quasiment la moitié des surfaces cultivées, l'autre moitié des terres étant consacrées aux céréales. La culture de la rose est aussi présente ainsi que celle des oliviers.
Au fil des siècles, la culture de la vigne a pris une place prépondérante dans l'économie du village.
Géologie
La grande majorité du terroir de Châteauneuf-du-Pape, principalement sur les hautes terrasses des Atouts, est constitué de terrasses alluvionnaires où des galets de quartzite, roulés par le Rhône, se sont englués dans une matrice rouge d'argile décomposée. Les gros galets qui recouvrent le sol restituent aux raisins durant la nuit la chaleur qu'ils ont emmagasinée le jour.
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Re: Cartes postales
Ca respire pas la gaîté...a quel moment arrive le vampire ?
Espace 3 phase 2 2.2 DCi 130 "The Race" / 220000 km
en remplacement d'un Espace 2 TD "Grand Ecran"7 430000 km
BMW R75/6 carénage MBv plus de 500000 km, je les ai tous faits !
et des tas de km en CX Tissier Bagagère Hollander France, en Simca 1000, Ford Fiesta et Escort
en Volvo 740 aussi ( mais je ne la regrette pas ! )
en remplacement d'un Espace 2 TD "Grand Ecran"7 430000 km
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en Volvo 740 aussi ( mais je ne la regrette pas ! )
- Miharu59
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Re: Cartes postales
Photo prémonitoire du confinement
Mes véhicules
R25 phase 2 année 1989 bacarat ambre gris tungstène 156cv 2.8i v6
Renault 25 GTX phase 2 1988 2.2 i 126cv gris tungstène
Renault Talisman Initial Paris 1.6 Tce 200cv noir améthyste 110.000km
Grand Espace IV 3.5 V6 initial Paris 2002 noire nacrée
Grand Espace III RXT vert lichen 3.0 V6 24v 2000
De la famille
Renault kadjar 1.5 dci buisnes 2018 88.000km
Renault velsatis 2.0 dci 150 de 2006 284.000km
Renault 21 manager 1992 217.000km
Citroën Bx exclusif 1.9tdi 240.000km 1989 à vendre
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Re: Cartes postales
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Re: Cartes postales
..... sauf qu'à Nice il n'y a pas de sable sur la plage
Espace I Phase 2 Turbo-D acquis neuf en Janvier 1988 ...... Sauvons le soldat Ryan moteur J8S !!!
395000 kms ...... et CT à nouveau ok le 11/04/2019 à 384792 384792 384792 384792 384792 kms
On n'a jamais été aussi bien sur Terre que dans l'Espace...
Twingo I Kiss Cool Quickshift de Juin 2005, 105000 kms .... que du bonheur cette boîte robotisée
Twingo II Dynamique 75 LEV Eco2 de Juillet 2009, 130000 kms... et tout va bien
Fiat 128 150000 kms Ford Escort Ghia 1,6 de 1983 193200 kms
Güldner G15 A2KS Spessart sixties et beaucoup d'heures
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On n'a jamais été aussi bien sur Terre que dans l'Espace...
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