Cartes postales
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- Fou (folle) du volant
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Re: Cartes postales
Prisunic est devenu Monoprix... un net gain en standing !
Espace 3 phase 2 2.2 DCi 130 "The Race" / 220000 km
en remplacement d'un Espace 2 TD "Grand Ecran"7 430000 km
BMW R75/6 carénage MBv plus de 500000 km, je les ai tous faits !
et des tas de km en CX Tissier Bagagère Hollander France, en Simca 1000, Ford Fiesta et Escort
en Volvo 740 aussi ( mais je ne la regrette pas ! )
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- TheStone
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Re: Cartes postales
.... et on mange où maintenant
Espace I Phase 2 Turbo-D acquis neuf en Janvier 1988 ...... Sauvons le soldat Ryan moteur J8S !!!
395000 kms ...... et CT à nouveau ok le 11/04/2019 à 384792 384792 384792 384792 384792 kms
On n'a jamais été aussi bien sur Terre que dans l'Espace...
Twingo I Kiss Cool Quickshift de Juin 2005, 105000 kms .... que du bonheur cette boîte robotisée
Twingo II Dynamique 75 LEV Eco2 de Juillet 2009, 130000 kms... et tout va bien
Fiat 128 150000 kms Ford Escort Ghia 1,6 de 1983 193200 kms
Güldner G15 A2KS Spessart sixties et beaucoup d'heures
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On n'a jamais été aussi bien sur Terre que dans l'Espace...
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Twingo II Dynamique 75 LEV Eco2 de Juillet 2009, 130000 kms... et tout va bien
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- Philou 33
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Re: Cartes postales
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Re: Cartes postales
voilà une sylphide plus proche de l'Espace que de la berlinette !
Espace 3 phase 2 2.2 DCi 130 "The Race" / 220000 km
en remplacement d'un Espace 2 TD "Grand Ecran"7 430000 km
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et des tas de km en CX Tissier Bagagère Hollander France, en Simca 1000, Ford Fiesta et Escort
en Volvo 740 aussi ( mais je ne la regrette pas ! )
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Re: Cartes postales
Cette pin up est digne d'un bordelais !!
Elle est plutot gironde ...
Elle est plutot gironde ...
Espace 3 Dt gris pluton 1998 237347km (multiplexé : tant pis!)
espace 2 td rouge Apache 1991 398461km Parti a la casse le 05/04/2016.......
espace 2 td blanc Arctique1995 431600km 476000km...481000 km...490000 km.. 500000km !510000km !521000km !537000km 545000... et c'est pas fini !
Espace 2 dtv gris Mercure 1996 limited en cours de remise en route !
espace 2 td vert 1995 space mountain 330000km kidnappé par mon ex ...
Espace 1 ph2 td gris titane de 88 416000 au compteur 300mkm de moins pour le moteur !
Espace 1 ph2 td bleu de 89 364mkm certifiés Ex Philou33 depuis le 18 mars 2017 .apres un changement de turbo, c'est reparti !!
opel kadett E cabriolet de 1991;un pur regal !
750 four de 1978 43000km d'origine !
GPZ 900R de 89 49000km ex Nikita ( en cours de revision/refection pour voyager )
Vespino GL (cyclo) de 77/78 acheté neuf par mon grand pere et recuperé cet été apres 15/20 ans de remisage
espace 2 td rouge Apache 1991 398461km Parti a la casse le 05/04/2016.......
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Espace 2 dtv gris Mercure 1996 limited en cours de remise en route !
espace 2 td vert 1995 space mountain 330000km kidnappé par mon ex ...
Espace 1 ph2 td gris titane de 88 416000 au compteur 300mkm de moins pour le moteur !
Espace 1 ph2 td bleu de 89 364mkm certifiés Ex Philou33 depuis le 18 mars 2017 .apres un changement de turbo, c'est reparti !!
opel kadett E cabriolet de 1991;un pur regal !
750 four de 1978 43000km d'origine !
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Re: Cartes postales
Hello Folks !
Un vrai kiosque à musique ! il n'y en a presque plus au nord de la Loire... ils y ont plus de temps pour rouiller, et moins de temps pour attrouper le chaland, même Mozart, sous la pluie, çà manque de charme !
Un vrai kiosque à musique ! il n'y en a presque plus au nord de la Loire... ils y ont plus de temps pour rouiller, et moins de temps pour attrouper le chaland, même Mozart, sous la pluie, çà manque de charme !
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Re: Cartes postales
Le nom de cette localité est d'origine gallo-romaine et correspond au nom d'une personne, Attinius, ce qui a donné Attiniacum, pour Ernest Nègre comme pour Octave Guelliot. On retrouve le nom de Attiniacum ou Attiniacus dans les actes, relativement nombreux, de la fin de la période mérovingienne et dans la période carolingienne.
La forme française connaît ensuite quelques variantes : Attigni, du XIe au XIVe siècle, Atigni en 1324, Atigny en 1428, Ateingny en 1253, Actigny en 1450, mais aussi Attegni-sur-Esne dans les chroniques de Jean Froissart.
Histoire
Au haut Moyen Âge, Attigny a une certaine importance. Chilpéric II, un des derniers rois mérovingiens, y meurt en 721. Le bourg devient par la suite le lieu d'une résidence royale, puis impériale, carolingienne. Pépin le Bref y préside, comme maire du palais, une cour plénière en août 750, y revient en 751 puis y réside à plusieurs reprises après son couronnement. Son fils, Carloman Ier y réside également à quelques reprises et y signe plusieurs actes en mars 769. La présence de Charlemagne y est citée à cinq reprises, essentiellement lors de fêtes de Noël ou de Pâques.
Lieux et monuments
Palais ou dôme de Charlemagne (construit en fait bien après la période carolingienne), classé monument historique en 1922.
Palais de Charlemagne
Mairie et palais de Charlemagne
Église Notre-Dame classée monument historique en 1910
La forme française connaît ensuite quelques variantes : Attigni, du XIe au XIVe siècle, Atigni en 1324, Atigny en 1428, Ateingny en 1253, Actigny en 1450, mais aussi Attegni-sur-Esne dans les chroniques de Jean Froissart.
Histoire
Au haut Moyen Âge, Attigny a une certaine importance. Chilpéric II, un des derniers rois mérovingiens, y meurt en 721. Le bourg devient par la suite le lieu d'une résidence royale, puis impériale, carolingienne. Pépin le Bref y préside, comme maire du palais, une cour plénière en août 750, y revient en 751 puis y réside à plusieurs reprises après son couronnement. Son fils, Carloman Ier y réside également à quelques reprises et y signe plusieurs actes en mars 769. La présence de Charlemagne y est citée à cinq reprises, essentiellement lors de fêtes de Noël ou de Pâques.
Lieux et monuments
Palais ou dôme de Charlemagne (construit en fait bien après la période carolingienne), classé monument historique en 1922.
Palais de Charlemagne
Mairie et palais de Charlemagne
Église Notre-Dame classée monument historique en 1910
- Philou 33
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Re: Cartes postales
Dans les écrits, le nom apparaît au Xe siècle lié au château sous la forme Castellum Ribairac. On trouve ensuite successivement Ribeirac au XIIe siècle, Arribeyrac au XIIIe siècle puis Ribeyrac au XIXe siècle. Son étymologie pourrait s'expliquer de deux façons différentes : soit à partir de riparius indiquant la présence de rives, soit dérivé du nom gallo-roman Rabirius suivi du suffixe -acum indiquant la propriété. Il correspondrait alors au « domaine de Rabirius », ou simplement au « domaine de la rivière ».
En occitan, la commune porte le nom de Rabairac.
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Château de Ribérac remontant au moins au Xe siècle, détruit à la fin du XVIIIe siècle
Manoir de la Beauvière, XIVe, XVIe et XIXe siècles
Pigeonnier de la Grande Ferrière qui pourrait dater du XVIIIe siècle
Palais de justice du XIXe siècle de l'architecte Auguste Dubet
Pont du Chalard sur le grand bras de la Dronne, le plus proche de Ribérac, et pont de Saint-Jouy sur le petit bras, situés sur le chemin d'Angoulême.
Patrimoine religieux
Avant la Révolution, le territoire de la ville de Ribérac était partagé entre trois paroisses dont les chefs-lieux étaient les villages de Saint-Martial, de Faye et de Saint-Martin. Pour des commodités de culte, trois églises annexes représentaient dans Ribérac ces églises paroissiales. L'église Notre-Dame représentait l'église Saint-Martial, l'église du Chalard représentait l'église de Faye, et l'église de la Trinité l'était pour l'église Saint-Martin. L'église Notre-Dame était la vieille chapelle féodale du château.
Église St Martial
En occitan, la commune porte le nom de Rabairac.
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Château de Ribérac remontant au moins au Xe siècle, détruit à la fin du XVIIIe siècle
Manoir de la Beauvière, XIVe, XVIe et XIXe siècles
Pigeonnier de la Grande Ferrière qui pourrait dater du XVIIIe siècle
Palais de justice du XIXe siècle de l'architecte Auguste Dubet
Pont du Chalard sur le grand bras de la Dronne, le plus proche de Ribérac, et pont de Saint-Jouy sur le petit bras, situés sur le chemin d'Angoulême.
Patrimoine religieux
Avant la Révolution, le territoire de la ville de Ribérac était partagé entre trois paroisses dont les chefs-lieux étaient les villages de Saint-Martial, de Faye et de Saint-Martin. Pour des commodités de culte, trois églises annexes représentaient dans Ribérac ces églises paroissiales. L'église Notre-Dame représentait l'église Saint-Martial, l'église du Chalard représentait l'église de Faye, et l'église de la Trinité l'était pour l'église Saint-Martin. L'église Notre-Dame était la vieille chapelle féodale du château.
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- Philou 33
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Re: Cartes postales
Le nom occitan est lo Grau dau Rei (norme classique) ou Lou Grau dóu Rèi (norme mistralienne).
Racine occitane gras, grau (en languedocien), du roman gras, grads, grad, gra, du catalan grau, du bas latin grassius, du latin gradus : embouchure d'un fleuve, bouche, chenal, coupure par laquelle la mer communique avec un étang du littoral.
Histoire
Moyen Âge
À l’époque des croisades, la commune d’Aigues-Mortes était un port royal bien que la mer ne soit jamais venue jusqu'au pied de ses remparts. Les navires partaient par un chenal creusé à travers les étangs jusqu'à la mer.
C’est à la fin du XVIe siècle que le Rhône, en pénétrant en torrent dans les eaux du Repausset, ouvre le grau dont il est question, au lieu-dit de Consac de Gagne Petit. À partir de ce moment sont entreprises de longues séries de travaux pour maintenir cette ouverture sur la mer afin de préserver la navigation dans le port d’Aigues-Mortes.
Époque moderne
Le port du Grau est relié depuis 1725 par un chenal de six kilomètres à Aigues-Mortes. En 1727 sont construits dans la mer deux môles empierrés prolongés dans l’étang du Repausset.
Édifices civils
Le centre-ville, construit autour du canal reliant les étangs (et Aigues-Mortes) à la mer (Grau) conserve encore aujourd'hui son cachet traditionnel. Au-delà du cœur historique, les maisons et immeubles de vacances, s'étalent au rythme des décennies.
L'ancien phare couvert d'un lanternon en cuivre (1828).
Le phare, bâti par l'ingénieur Paul Courant en 1828 dans le cadre du premier programme d'éclairage des côtes françaises lancé par Fresnel en 1825
La maison dite du dauphin, face à l'église, typique de l'architecture 1900.
La villa Parry, Belle Époque, à côté du phare, abrite un centre culturel. Le balcon-terrasse est supporté par des colonnes en fonte ouvragées.
Racine occitane gras, grau (en languedocien), du roman gras, grads, grad, gra, du catalan grau, du bas latin grassius, du latin gradus : embouchure d'un fleuve, bouche, chenal, coupure par laquelle la mer communique avec un étang du littoral.
Histoire
Moyen Âge
À l’époque des croisades, la commune d’Aigues-Mortes était un port royal bien que la mer ne soit jamais venue jusqu'au pied de ses remparts. Les navires partaient par un chenal creusé à travers les étangs jusqu'à la mer.
C’est à la fin du XVIe siècle que le Rhône, en pénétrant en torrent dans les eaux du Repausset, ouvre le grau dont il est question, au lieu-dit de Consac de Gagne Petit. À partir de ce moment sont entreprises de longues séries de travaux pour maintenir cette ouverture sur la mer afin de préserver la navigation dans le port d’Aigues-Mortes.
Époque moderne
Le port du Grau est relié depuis 1725 par un chenal de six kilomètres à Aigues-Mortes. En 1727 sont construits dans la mer deux môles empierrés prolongés dans l’étang du Repausset.
Édifices civils
Le centre-ville, construit autour du canal reliant les étangs (et Aigues-Mortes) à la mer (Grau) conserve encore aujourd'hui son cachet traditionnel. Au-delà du cœur historique, les maisons et immeubles de vacances, s'étalent au rythme des décennies.
L'ancien phare couvert d'un lanternon en cuivre (1828).
Le phare, bâti par l'ingénieur Paul Courant en 1828 dans le cadre du premier programme d'éclairage des côtes françaises lancé par Fresnel en 1825
La maison dite du dauphin, face à l'église, typique de l'architecture 1900.
La villa Parry, Belle Époque, à côté du phare, abrite un centre culturel. Le balcon-terrasse est supporté par des colonnes en fonte ouvragées.
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Re: Cartes postales
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Re: Cartes postales
La Loupe
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latines Pende lupum, Passelupum en 1180, Passelu en 1210, Cantus lupus en 1081, Malus lupus en 1240, Villa lupi en 1341, Lalouppe en 1793, La Louppe en 1801.
L'origine du nom La Loupe n'a jamais été parfaitement établie. Selon certaines sources, la ville tire son nom des loups (lupa : 'louve') qui hantaient la région ; selon d'autres, d'un chêne druidique énorme qu'on appelait chêne de la loupe (quercus de lupa). On a également parlé de laubja, d'où le mot loge ('maison forestière').
Lieux et monuments
Le château de La Loupe
Le château de La Loupe est situé dans le centre-ville. Il abrite des salles d'exposition. Une partie du château est également réservée à l'école de musique, qui permet aux enfants de suivre des cours et de découvrir de nombreux instruments.
En 1665, le maréchal de La Ferté fit construire le château actuel sur des plans de Vauban. Le domaine fut la possession de la famille de La Ferté Saint-Nectaire jusqu'en 1790 : il fut confisqué à la Révolution
Le Gros Chêne
Situé à la sortie de la ville, sur la commune de Meaucé, le gros chêne serait un reste du bois environnant le château primitif de La Loupe et aurait remplacé un chêne druidique millénaire. Il est le sujet de nombreuses légendes. Il aurait été planté, en 1360, par un chevalier de Montireau, qui partait en croisade, et Jeanne, fille du seigneur de Meaucé, en gage de fidélité.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latines Pende lupum, Passelupum en 1180, Passelu en 1210, Cantus lupus en 1081, Malus lupus en 1240, Villa lupi en 1341, Lalouppe en 1793, La Louppe en 1801.
L'origine du nom La Loupe n'a jamais été parfaitement établie. Selon certaines sources, la ville tire son nom des loups (lupa : 'louve') qui hantaient la région ; selon d'autres, d'un chêne druidique énorme qu'on appelait chêne de la loupe (quercus de lupa). On a également parlé de laubja, d'où le mot loge ('maison forestière').
Lieux et monuments
Le château de La Loupe
Le château de La Loupe est situé dans le centre-ville. Il abrite des salles d'exposition. Une partie du château est également réservée à l'école de musique, qui permet aux enfants de suivre des cours et de découvrir de nombreux instruments.
En 1665, le maréchal de La Ferté fit construire le château actuel sur des plans de Vauban. Le domaine fut la possession de la famille de La Ferté Saint-Nectaire jusqu'en 1790 : il fut confisqué à la Révolution
Le Gros Chêne
Situé à la sortie de la ville, sur la commune de Meaucé, le gros chêne serait un reste du bois environnant le château primitif de La Loupe et aurait remplacé un chêne druidique millénaire. Il est le sujet de nombreuses légendes. Il aurait été planté, en 1360, par un chevalier de Montireau, qui partait en croisade, et Jeanne, fille du seigneur de Meaucé, en gage de fidélité.
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Re: Cartes postales
Le nom de la localitéNote est attesté sous la forme Gaillo, Guaillum, Wallio au XIIe siècle, Gaallonii en 1195, Gaillonem en 1196.
François de Beaurepaire suggère un rapprochement avec Wail (Pas-de-Calais, Wadhil 1066), Gaël (Ille-et-Vilaine, Wadel 816) que Maurits Gysseling considère comme issus de wadellu(m) « passage à gué ». Il est lui-même dérivé du vieux bas francique wad que certains spécialistes considèrent aussi comme probable étymologie du terme gué.
Il serait dans ce cas suivi du suffixe -o / -one et signifierait « lieu du gué ». D'ailleurs, Gaillon est traversé par le ruisseau du Hazey en provenance de Sainte-Barbe-sur-Gaillon.
Toponyme signifiant « endroit guéable », (Gué sur le Ru du canal).
Antérieurement à la Révolution française, on rencontre l'appellation de Gaillon-l'Archevêque, ce qui entraîne peu après 1789 le changement (provisoire) de nom en Montagne-sur-Gaillon.
Histoire
L'histoire de la commune est fort liée à celle du château.
Château de Gaillon - entrée.
La place de l'église Saint-Ouen. En arrière-plan, le château.
La tour-clocher en façade de l'église Saint-Ouen.
Sans remonter à la Préhistoire qui laissa pourtant quelques traces en notre contrée, c’est au cours de l’époque romaine que l'on peut apprécier un regroupement de populations dans la vallée et surtout sur les hauteurs : en effet, Saint-Aubin-sur-Gaillon est peut-être la ville gallo-romaine des origines.
Époque médiévale
Un château ducal destiné à défendre la frontière de Normandie contre le roi de France est édifié vers le XIe siècle et il fait alors partie de tout un système de fortifications majoritairement construites le long de l'Epte côté normand (Malassis, Gasny, Baudemont, Écos, Château-sur-Epte, Gamaches, etc.), mais aussi entre Eure et Seine (rive gauche) parmi lesquelles Gaillon.
François de Beaurepaire suggère un rapprochement avec Wail (Pas-de-Calais, Wadhil 1066), Gaël (Ille-et-Vilaine, Wadel 816) que Maurits Gysseling considère comme issus de wadellu(m) « passage à gué ». Il est lui-même dérivé du vieux bas francique wad que certains spécialistes considèrent aussi comme probable étymologie du terme gué.
Il serait dans ce cas suivi du suffixe -o / -one et signifierait « lieu du gué ». D'ailleurs, Gaillon est traversé par le ruisseau du Hazey en provenance de Sainte-Barbe-sur-Gaillon.
Toponyme signifiant « endroit guéable », (Gué sur le Ru du canal).
Antérieurement à la Révolution française, on rencontre l'appellation de Gaillon-l'Archevêque, ce qui entraîne peu après 1789 le changement (provisoire) de nom en Montagne-sur-Gaillon.
Histoire
L'histoire de la commune est fort liée à celle du château.
Château de Gaillon - entrée.
La place de l'église Saint-Ouen. En arrière-plan, le château.
La tour-clocher en façade de l'église Saint-Ouen.
Sans remonter à la Préhistoire qui laissa pourtant quelques traces en notre contrée, c’est au cours de l’époque romaine que l'on peut apprécier un regroupement de populations dans la vallée et surtout sur les hauteurs : en effet, Saint-Aubin-sur-Gaillon est peut-être la ville gallo-romaine des origines.
Époque médiévale
Un château ducal destiné à défendre la frontière de Normandie contre le roi de France est édifié vers le XIe siècle et il fait alors partie de tout un système de fortifications majoritairement construites le long de l'Epte côté normand (Malassis, Gasny, Baudemont, Écos, Château-sur-Epte, Gamaches, etc.), mais aussi entre Eure et Seine (rive gauche) parmi lesquelles Gaillon.
- Philou 33
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Re: Cartes postales
Histoire
Les premières traces de peuplement de Layrac remontent au Magdalénien. On a retrouvé dans sa plaine des traces d'occupation pour les âges du Bronze et du Fer. À l'époque gallo-romaine, plusieurs villae sont attestées sur le territoire de la commune. L'une d'entre elles, après abandon et invasions donnera naissance au premier bourg médiéval situé sur un promontoire dominant le Gers.
Un monastère, comprenant l'église Saint-Martin, fondé en 1064 par Hunald, religieux à Moissac et son frère Hugues, vicomte de Brulhois, a permis ensuite au village de Layrac de se développer.
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin, des XIe et XIIe siècles, classée monument historique avec sa mosaïque romane. L'une des plus grandes églises romanes à coupole sur pendentifs plats de France.
Le clocher-porche gothique, des XIIIe-XIVe siècles, restes de l'ancienne église paroissiale Sainte Marie et sa salle du 1er étage avec cheminée Renaissance aux armoiries de la ville
La vieille ville, au cœur du centre-ville, où l'on peut observer plusieurs maisons à colombages en bon état.
Plusieurs vieux lavoirs, qui ont résisté au temps.
Église Sainte-Marie d'Amans, inscrite au titre des monuments historiques en 1954.
Château de Goulens, inscrit au titre des monuments historiques en 1921.
La seigneurie a appartenu au XIIIe siècle à la famille de Goulens et lui a donné son nom. La famille Carbonneau leur a succédé.
Le château a été construit au XVIe siècle.
Claude de Barbier de La Serre (vers 1636-1699), conseiller du roi à la cour des Aides de Guienne, a acheté le château, terre et seigneurie de Goulens par arrêt du parlement de Toulouse le 31 août 1689 pour la somme de 20 000 livres. Il y est décédé le 30 septembre 1699. Le château est resté la propriété de la famille Barbier de La Serre.
Maison forte de Bois-Renaud, inscrite au titre des monuments historiques en 1973
Les premières traces de peuplement de Layrac remontent au Magdalénien. On a retrouvé dans sa plaine des traces d'occupation pour les âges du Bronze et du Fer. À l'époque gallo-romaine, plusieurs villae sont attestées sur le territoire de la commune. L'une d'entre elles, après abandon et invasions donnera naissance au premier bourg médiéval situé sur un promontoire dominant le Gers.
Un monastère, comprenant l'église Saint-Martin, fondé en 1064 par Hunald, religieux à Moissac et son frère Hugues, vicomte de Brulhois, a permis ensuite au village de Layrac de se développer.
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin, des XIe et XIIe siècles, classée monument historique avec sa mosaïque romane. L'une des plus grandes églises romanes à coupole sur pendentifs plats de France.
Le clocher-porche gothique, des XIIIe-XIVe siècles, restes de l'ancienne église paroissiale Sainte Marie et sa salle du 1er étage avec cheminée Renaissance aux armoiries de la ville
La vieille ville, au cœur du centre-ville, où l'on peut observer plusieurs maisons à colombages en bon état.
Plusieurs vieux lavoirs, qui ont résisté au temps.
Église Sainte-Marie d'Amans, inscrite au titre des monuments historiques en 1954.
Château de Goulens, inscrit au titre des monuments historiques en 1921.
La seigneurie a appartenu au XIIIe siècle à la famille de Goulens et lui a donné son nom. La famille Carbonneau leur a succédé.
Le château a été construit au XVIe siècle.
Claude de Barbier de La Serre (vers 1636-1699), conseiller du roi à la cour des Aides de Guienne, a acheté le château, terre et seigneurie de Goulens par arrêt du parlement de Toulouse le 31 août 1689 pour la somme de 20 000 livres. Il y est décédé le 30 septembre 1699. Le château est resté la propriété de la famille Barbier de La Serre.
Maison forte de Bois-Renaud, inscrite au titre des monuments historiques en 1973
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